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Investir : comment bien placer son argent ?

 « Le meilleur moment pour planter un arbre, c'était il y a 20 ans » : plus on commence tôt, mieux c’est !

Marine-Sophie Brudon

Mis à jour le 31-05-2023

investir

En bref

Définir son profil et ses objectif avant d’investir.
La clé de l'investissement est la diversification. 
Faites vous accompagner par un un conseiller en gestion de patrimoine.

Comment placer intelligemment son argent ? 

Définir son profil d’investisseur

Vous en avez assez de voir vos économies dormir sur un livret A, mais vous ne savez pas où ni comment investir ? Pas de panique, Climb est là pour vous aider. Il existe de nombreux investissements qui vous permettront de faire fructifier votre épargne. Pour éviter de se jeter sur le premier placement venu, il est important de suivre certaines étapes. 

Commencez par définir votre profil investisseur. Lorsque vous investissez, vous devez prendre en compte le ratio risque / rendement, qui varie selon les produits financiers. En effet, il est impossible d’avoir à la fois un capital protégé à 100 % et un rendement très performant. Pour la simple raison que les supports d’investissements qui permettent les meilleurs rendements sont aussi les plus volatils : ils dépendent de la santé des marchés financiers, peu prévisibles. 

Interrogez-vous sur votre niveau de tolérance au risque. La question à vous poser est la suivante : est-ce que je préfère viser un rendement élevé, mais avec le risque d’une perte en capital ? Ou est-ce que je préfère sécuriser mon capital, mais avec un rendement modéré ? 
On classe les profils d’investisseurs en 3 catégories :

  1. prudent : la protection du capital est la priorité ;
  2. équilibré : le capital est modérément exposé à un risque de perte, moyennant une recherche de rendement ;
  3. dynamique : le risque de perte du capital est réel, mais il y a aussi de meilleures chances d’obtenir un rendement performant. 

Le profil équilibré représente en général un bon compromis pour appréhender le fonctionnement d’un support d’investissement tout en limitant la casse en cas de performance mitigée. 

Faites le point sur vos finances

Une fois votre profil connu, il est bon de faire un bilan de vos finances personnelles. En effet, avant de vous projeter dans vos investissements futurs et d’entamer des démarches auprès de votre banquier, cette étape est indispensable afin d’éviter de vous retrouver à investir des capitaux que vous n’avez pas. 

Faites également un bilan rapide de vos dépenses annuelles, en incluant les charges de votre logement (factures d’énergie, loyers), les impôts locaux (taxe d’habitation, taxe foncière, etc.), vos frais professionnels (essence, péage, formation, équipement), les dépenses de loisir (vacances, voyages, sortie, etc.). Tâchez d’établir un budget annuel plutôt que mensuel. Cela vous permettra d’estimer votre patrimoine. 

Une fois que vous avez votre reste à vivre sous les yeux, vous pourrez définir le montant réaliste et cohérent que vous pourrez allouer chaque mois à votre projet d’investissement.

Pour vous aider dans cette tâche, nous vous avons préparé des guides complets pour commencer à investir pour tous les budgets

Définissez vos objectifs

Vous avez constitué votre fonds de sécurité et vous êtes prêt à investir ? Il est temps de vous pencher sur les solutions existantes. 

Tout d’abord, il est important de garder la tête froide : sur Internet, les vendeurs de rêves pullulent. Trading, Bourse, investissement locatif... Oui, ces stratégies existent, mais elles demandent de solides connaissances financières et un bon niveau de tolérance au risque. Méfiez-vous des promesses de rendement trop belles pour êtres vrais et commencez à votre niveau. Vous devez aussi connaître le montant que vous souhaitez investir et cela demande une bonne connaissance de vos finances et de vos objectifs. 

Le premier paramètre à regarder : votre horizon d’investissement. La plupart des produits d’investissement ont une durée de vie qui dépasse 10, 20, voire 30 ans. Un critère à prendre en considération au moment d’investir, car c’est de la durée de vie du produit (aussi appelée « maturité »), que dépend la réussite de votre projet. Autrement dit, mieux vaut calquer l’horizon de votre objectif financier sur celui de votre produit.

Là encore, c’est une question de logique : en pensant « long terme », vous n’aurez pas à vous inquiéter outre mesure des petites fluctuations du quotidien. Même si vous subissez des pertes dans votre portefeuille, elles seront minimes et n’impacteront pas votre objectif à long terme.

Par exemple : pour récupérer sa mise sur une assurance vie, mieux vaut attendre 8 ans, car la fiscalité sera plus avantageuse. À l’inverse, un PEA devient fiscalement intéressant après seulement 5 ans. Quant au Plan Épargne Retraite, il est véritablement avantageux au moment du départ en retraite.

De nombreuses motivations peuvent pousser à investir son argent :

  • augmenter ses revenus ;
  • faire fructifier son capital ;
  • se constituer un patrimoine ;
  • réduire ses impôts ;
  • protéger sa famille ;
  • préparer sa retraite, etc. 

Mais la raison principale reste le rendement. Il en existe plusieurs types : 

  • le rendement financier
  • le rendement des actions : pourcentage du cours des actions ; 
  • le rendement des obligations : pourcentage du prix de l’obligation lors de son émission. 

Les Français ont certes l’habitude d’épargner (1 Français sur 2 épargne au moins une fois par mois), mais ils sont plus réticents lorsqu’il s’agit d’investir leur argent dans des placements actifs. Crise économique oblige, les ménages sont prudents avec leur argent et concentrent leur effort d’épargne sur des produits sans risques : 89 % des Français affirment détenir au moins un produit financier à « faible » risque, avec une préférence marquée pour le Livret A. 

Des placements sécurisés certes, mais déficitaires. En jouant la carte de la sécurité, vous courrez le risque de laisser votre argent dormir (sur un compte sur livret ou un compte-titre). Ce qui se traduit immanquablement par un manque à gagner, au fil des années. Voilà pourquoi, il est primordial de connaître votre profil, mais aussi votre capacité d’épargne. 

Faire attention

Investir n’est pas un jeu, cela comporte des risques qu’il ne faut pas prendre à la légère. Chaque placement a son lot de dangers, mais on en retient surtout deux : 

  1. Une perte en capital ;
  2. Une fluctuation du capital.

Investir peut aussi vous amener à commettre des erreurs. Parmi les plus fréquentes, on retient : 

  • des recherches insuffisantes : prenez le temps de vous informer sur vos futurs placements. Ne vous précipitez pas et faites-vous accompagner afin de prendre les meilleures décisions pour votre profil et vos objectifs.
  • des décisions émotionnelles : pas de panique, pour investir il faut garder la tête froide et ne pas se laisser influencer par ses émotions ou par son entourage. Keep calm and carry on !
  • pas de diversification : l’une des plus grosses erreurs que vous pouvez faire en investissement c’est de ne pas diversifier vos actifs. En plaçant votre argent sur différents supports, vous limitez le risque de perte.
  • ignorer les frais : ils peuvent peser lourd et coûter plusieurs milliers d’euros dans une vie. Mieux vaut faire attention et ne pas se laisser surprendre. 

Diversifier et dynamiser son épargne 

Comme disait votre grand-mère « il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier ». En cas de casse, vous pourriez bien tout perdre. Voilà pourquoi on vous conseille de diversifier vos placements afin d’éviter un tel risque. 
Avant de faire cela, il est primordial de connaître votre horizon d’investissement : 

  • épargne à court terme (ou épargne de précaution) : c’est votre filet de sécurité qui correspond généralement à 3 mois de dépenses. Il est primordial d’en avoir une pour faire face aux imprévus (accidents, frais médicaux). 
  • épargne à moyen terme : elle permet d’investir dans des supports risqués à plus fort rendement. Les fonds doivent pouvoir être récupérés sans difficulté et sans frais le moment venu.
  • épargne à long terme : elle vous permet de miser sur des supports très dynamiques et/ou peu liquides à forte espérance de rendement. Rappelons en effet qu’un horizon de placement lointain améliore le rapport rendement/risque. 

Pour mieux visualiser ce phénomène, on parle généralement de pyramide de l’épargne (ou montagne de l’épargne, comme on aime l’appeler chez Climb). On commence par le socle avec l’achat de sa résidence principale, puis on passe à la base avec des fonds euros peu rentables, mais sécurisés. Le milieu de la montagne correspond à des investissements plus risqués et donc plus rentables (SCPI, PEA, LMNP). Enfin, le sommet est occupé par les investissements les plus exotiques et les plus dispensables (les sucreries de l’investissement) comme le crowdfunding, les cryptos ou encore les GFI. 

Prenons l’exemple de Sophie qui a un profil équilibré et qui souhaite investir 30 000 euros. Vous l’avez compris, elle ne compte pas les placer au même endroit, mais bien les diversifier afin d’éviter la casse tout en se constituant des revenus complémentaires : 

  • dans un livret A afin de se constituer une épargne de précaution ; 
  • dans un fonds euros sécurisé ; 
  • dans une assurance-vie principalement investie en unités de compte ; 
  • dans l’immobilier via un LMNP par exemple ; 
  • dans des placements alternatifs comme les cryptomonnaies, l’art ou encore un vignoble. 

Maintenant que vous savez comment placer votre argent, que vous êtes au courant des risques et de l’importance de la diversification, nous pouvons passer au vif du sujet : où investir ? Suivez le guide !

Les leviers classiques (épargne de précaution)

Livrets réglementés et non réglementés

On distingue deux types de livrets : 

  • les livrets réglementés dont les conditions et le taux d’intérêt sont fixés par l’État comme le Livret A, le Livret de Développement Durable (LDD) ou encore le Livret d’Épargne Populaire (LEP) ;
  • les livrets non réglementés ou « Super Livrets » : contrairement aux précédents, ils ne sont pas contrôlés par l’État. Ainsi, leurs taux et conditions varient selon les banques. Attention, ces livrets sont soumis aux cotisations sociales et à l’impôt sur le revenu, ce qui impacte négativement leur rendement.

Vous l’aurez compris, comme le risque est nul, le rendement est assez faible. On peut tout de même noter que face à l’inflation, les taux ont été relevés le 1er février 2023 : 

  • 3 % pour le livret A et le LDDS ; 
  • 6,1 % pour le LEP. 

On se sert de ces livrets pour placer son épargne de précaution, c’est une bonne manière pour préparer un projet à court terme ou pour anticiper un imprévu. Toutefois, même s’ils sont facilement et rapidement disponibles, ils sont plafonnés et ne constituent pas un placement viable si vous êtes en quête de rendement. 

Tout savoir sur les Livrets et comptes épargne 

Assurance-vie

On l’appelle le couteau suisse de l’investisseur : très souple, elle offre une porte d’entrée pour investir dans de très nombreux actifs. Elle vous suivra durant toute votre vie d’investisseur ! Elle offre aussi un bon avantage fiscal après 8 ans : vous bénéficiez, sous conditions, d’un abattement fiscal sur vos gains et intérêts, à hauteur de 4 600 euros pour une personne seule (et 9 200 euros pour un couple).
Choisissez de préférence une assurance vie en gestion pilotée. Cela signifie que vous n’aurez pas à arbitrer vous-même vos placements, mais que vous en déléguerez la gestion à un mandataire qui prendra en compte votre profil d’investisseur (prudent, équilibré ou dynamique). 

Tout savoir sur l'Assurance-vie 

Où investir dans la pierre ? 

L’investissement dans l’immobilier est sans doute l’un des placements préférés des Français. Attractive et solide, la pierre a de nombreux atouts, mais aussi de nombreux visages. Comme nous allons le voir, elle peut prendre différentes formes et s’adapter à vos besoins, mais aussi à votre profil. Des SCPI au crowdfunding en passant par le Pinel, petit tour d’horizon de vos options. 

L’investissement locatif

L’investissement locatif garde une place de choix dans le cœur des Français. Il faut dire que c’est un excellent moyen de percevoir des revenus complémentaires réguliers (loyers). Malgré tout, acheter pour louer n’est pas toujours synonyme de rentabilité. En effet, il faudra bien réfléchir sur plusieurs points avant de vous lancer : 

  • le choix de la ville et du quartier ;
  • le taux de logements vacants selon les quartiers de la ville de votre choix ;
  • les tarifs pratiqués en termes de location ;
  • la présence ou non de bassins d’emplois ;
  • la demande locative selon la ville.

Il ne faudra pas non plus négliger le choix du locataire, le montant du loyer ou encore le type de location que vous souhaitez proposer (nue ou meublée). 

Investir dans l’immobilier pour réduire ses impôts

La Location Meublée Non Professionnelle (LMNP) est un classique de l’investissement immobilier, c’est aussi une catégorie de l’immobilier locatif dont nous venons de parler. Comme son nom l’indique, vous devez louer un bien immobilier meublé en tant que particulier. En échange, vous bénéficiez d’un abattement de 50 % sur vos revenus locatifs, tout en générant des revenus complémentaires. 

Bon à savoir

Vous devez percevoir des revenus locatifs annuels de 23 000 euros maximum.

Si vous souhaitez payer moins d’impôts, le dispositif Pinel est là pour vous. Pour investir en Pinel, trois conditions doivent être respectées :

  • acheter un appartement neuf dans une zone définie,
  • fixer un loyer qui ne peut pas dépasser un certain montant,
  • s’engager à louer l'appartement pendant un certain nombre d'années.

L’avantage fiscal dépend du nombre d’années de votre mise en location. On parle de « durée d’engagement » :

  • location de 6 ans  = réduction de 12 % ;
  • location de 9 ans = réduction de 18 % ;
  • location de 12 ans = réduction de 21 %

Tout savoir sur l'investissement immobilier

Les SCPI

Les SCPI ont de plus en plus la cote auprès des investisseurs français. Elles ne manquent pas de charme. Il en existe 3 types : 

  1. les SCPI de rendement : générer des revenus fonciers ; 
  2. les SCPI fiscales : baisse des impôts ; 
  3. les SCPI de plus-values.

Il s’agit de sociétés qui gèrent des parcs immobiliers dont vous allez acheter des parts afin de devenir propriétaire d’une fraction de chaque bien et bien sûr percevoir une partie des loyers en retour. C’est une manière d’investir dans l’immobilier sans les contraintes. 

Bon à savoir

Ce placement est soumis à l’impôt sur la fortune immobilière (IFI) et n’est fiscalement pas très avantageux sauf si vous investissez dans une SCPI via votre assurance-vie.

Tout savoir sur les SCPI 

Et les autres … 

Le crowdfunding, appelé aussi financement participatif, est une autre manière d’investir dans l’immobilier. Cet investissement de niche s’adresse principalement à des profils très dynamiques, car il est risqué ! Il consiste à financer un projet immobilier, que le promoteur rembourse aux investisseurs à l’issue du chantier de construction. Il s’agit d’un placement assez court, car les projets sont en moyenne sur des périodes de 24 mois et avec des taux de rendement bruts annuels de 10 %. De plus, vous bénéficiez d’une fiscalité avantageuse avec la flat tax de 30 %.

Vous pouvez également vous tourner vers les fonds communs de placement dans l’immobilier (FCPI). Voilà une autre façon d’investir dans l’immobilier en passant par des sociétés du secteur de l’immobilier comme : 

  • des sociétés foncières ;
  • des sociétés de promotion ;
  • des sociétés de construction. 

Pour rappel, les FCPI sont une catégorie d’OPCVM (organisme de placement collectif en valeurs mobilières). Il s’agit d’un placement à long terme et le rendement dépendra du risque et du fonds choisi. Moins risqués que les fonds communs de placement dans l’innovation (aussi FCPI), ils sont tout de même soumis à la volatilité des taux. 

Comment investir en Bourse ? 

Les types d’actifs

Investir en bourse n’est pas difficile, mais peut être risqué s’il on est mal accompagné ou si on prend les choses à la légère. Sur le long terme ce placement est très intéressant et ne nécessite pas un ticket d’entrée exorbitant. De plus, votre argent n’est pas bloqué et vous pouvez modifier votre niveau de risque en fonction de vos besoins. 

La bourse est le lieu où s’échangent les titres financiers comme les actions et les obligations. En clair, la bourse est la rencontre de ceux ayant des besoins de financement, et de ceux ayant de l’argent à placer.

Pour diversifier votre épargne, vous pouvez en acquérir sur deux types de marché :

  • Le marché primaire : où une entreprise est introduite en bourse pour la première fois ;
  • Le marché secondaire : c’est là où s’échangent les actions dont le prix est fixé selon l’état de l’offre et de la demande.

Où placer ses titres ?

Il ne reste plus qu’à savoir où investir. Heureusement il existe de nombreux produits qui vous permettront de le faire. Tout d’abord, le Compte Titre Ordinaire (CTO). Il s’agit d’un portefeuille d’actifs où vous pouvez stocker vos actions, vos obligations et vos ETFs. Il est sujet à la flat tax de 30 % sur les gains et vous permet d’accéder aux marchés financiers du monde entier.

Puis, il y a le Plan d’Épargne en Actions qui est un plan d’épargne pour investir dans des actions d’entreprises européennes. Sa fiscalité est bien plus intéressante que celle du CTO puisqu’à partir de 5 ans de détention vous ne payez que 17,2 % de taxes (prélèvements sociaux obligatoires) sur vos gains au lieu de 30 %. En effet, vos gains sont exonérés d’impôt, mais pas des prélèvements sociaux !
 

Bon à savoir

Tout retrait d’argent de votre PEA avant cinq ans entraîne sa clôture.

Et comme vous n’allez certainement pas choisir vous-même une à une les actions de votre PEA, beaucoup d’investisseurs débutants optent pour des ETF (au sein de votre PEA). Un ETF (Exchange Traded Fund) est un fonds d’investissement coté en bourse, qui réplique un indice boursier et dont les frais sont très réduits. En investissant dans un ETF, vous laissez un fonds choisir pour vous les titres financiers et vous récupérez juste le panier de titres.
Simple et abordable, les frais liés aux ETFs sont également moindres. De plus, le risque de perte en capital est mutualisé, puisque votre portefeuille est diversifié !

Investissement Socialement Responsable (ISR)

N’oublions pas les investissements responsables ! Les ISR consistent à investir dans des placements éthiques et socialement responsables. Qui a dit qu’investir ne pouvait pas être en accord avec vos valeurs et vos principes ? 
Voyons ensemble les différentes manières d’investir responsable : 

  • les fonds ISR : vous pouvez investir dans un fonds ISR via un compte-titre, un PEA ou une assurance-vie. Pour éviter de passer des jours à sélectionner les actions une à une afin de se constituer un portefeuille responsable, le mieux est d’investir dans des ETF ISR. Ici, le label ISR garantit que les entreprises sur lesquelles vous investissez à travers ces ETFs sont socialement responsables ; 
  • les SCPI labellisées ISR ;
  • les groupements forestiers d’investissement (GFI)

Vous pouvez également investir directement dans une cause qui vous tient à cœur comme l’accès à l’eau, l’environnement ou encore la préservation des vignobles français. Vous pouvez aussi investir dans l’immobilier en soutenant la construction dans le neuf et permettre l’accès au logement pour tous avec le Pinel. Ou encore soutenir l’industrie en outre-mer avec le Girardin industriel. Bref, le choix est le vôtre.

Investir responsable n’est pas seulement éthique, c’est aussi une vraie opportunité pour votre épargne avec des fonds dont les rendements n’ont parfois pas à rougir devant ceux des fonds classiques. On a aussi pu remarquer que les entreprises plus sociales ont mieux performé que les autres durant la crise sanitaire. 

Vous l’aurez compris, le fameux couple rentabilité-risque, n’est pas le seul à entrer en compte dans le choix d’un investissement. Le monde change, les mentalités évoluent et l’investissement suit. Investir de manière responsable et éthique c’est rester en amont de la vague !

Placements financiers

PEA-PME

Envie d’investir dans le non-coté, et si vous passiez par un PEA-PME ? Fonctionnant comme un PEA bancaire, il vous permet de soutenir l’évolution d’une petite ou moyenne entreprise. Son plafond est certes fixé à 75 000 €, mais il peut être cumulé à un PEA classique, ce qui porte le montant du plafond à 225 000 € !
Tout comme le PEA, vos gains et dividendes sont exonérés d’impôts au bout de 5 ans de détention. Enfin, ce placement ne demande pas de montant minimum à l’ouverture.

Le Fond Commun de Placement dans l’Innovation

Le Fond Commun de Placement dans l’Innovation vous permet de réduire vos impôts tout en finançant des PME innovantes à une hauteur minimale de 70 %. Les 30 % restants peuvent être investis dans : 

  • des actions ; 
  • des obligations ;
  • des SICAV ; 
  • des FCP monétaires.

Il s’agit d’un investissement à risque puisqu’il se base sur des sociétés non cotées. Néanmoins, les FCPI vous permettent de bénéficier d’avantages fiscaux très intéressants. Toutefois, toutes les PME ne sont pas éligibles. En effet elles doivent respecter quelques conditions :

  • le nombre de salariés ne doit pas être supérieur à 2 000 ;
  • le siège social doit être situé dans l’Union européenne ;
  • elles doivent être assujetties à l’impôt sur les sociétés ;
  • elles ne doivent pas détenir des cotations sur un marché étranger ou sur le marché français.
  • l’innovation doit être aussi présente dans les dépenses de l’entreprise lors des 3 dernières années ; 
  • une grosse partie de leurs bénéfices doit être dédiée à la recherche et au développement.

Le Compte à terme

Le compte à terme vous permet de déposer de l’argent durant une période (différente selon les banques) sans pouvoir y toucher. Il faut donc être prêt à voir votre argent bloqué. Plus vous le laisserez longtemps, plus vos rémunérations seront importantes.,D’une certaine manière, le CAT est un prêt d’argent que vous accordez à une banque pour une durée fixe ou variable, selon un taux d’intérêt connu à l’avance.,Son principal avantage : ses intérêts sont plus élevés que ceux d’un livret A par exemple.

Comment investir dans les produits structurés ? 

Vous souhaitez dynamiser votre capital ? Les produits structurés sont là pour vous ! Il s’agit d’un assemblage de plusieurs produits financiers (des obligations, un actif sous-jacent et des produits dérivés). Les parts de produits structurés sont généralement intégrées dans une assurance vie ou un Plan épargne retraite (PER), mais vous pouvez également opter pour un Plan d’épargne en actions (PEA) ou un compte-titre. 

Souples, transparents et accessibles, les produits structurés bénéficient aussi d’une fiscalité très intéressante. En effet, le capital et les gains sont exonérés d’impôt sur le revenu tant que vous n’effectuez pas de retrait. Et si vous n’effectuez aucun retrait pendant 8 ans, vous bénéficiez d’un abattement annuel sur les gains de 4 600 euros pour un célibataire et de 9 200 euros pour un couple.  

N’oublions pas non plus que grâce à sa barrière de protection, vous limitez les risques de perte en capital et vous pouvez également choisir le ratio risque/rendement. Malgré tout, ce type de placement n’est pas fait pour tout le monde. Nous vous conseillons de l’utiliser dans un objectif de diversification et non comme produit financier principal. N’hésitez pas à vous faire accompagner par un conseiller en gestion de patrimoine. 

Tout savoir sur les Produits structurés

Placements exotiques

Vous l’aurez compris, la diversification est primordiale pour bien investir et quoi de mieux que les placements exotiques pour y parvenir. Nous rappelons tout de même qu’il est intéressant de les utiliser avec parcimonie. Petit tour d’horizon de placements qui vous feront voir du pays !   

Les matières premières

Quand on parle de matières premières, on pense généralement à l’or. Valeur refuge par excellence, ce métal précieux est une bonne manière de se protéger contre l’inflation. En effet, lorsque les marchés sont incertains, son prix a tendance à augmenter. C’est aussi le cas de l’argent ou du palladium. Mais ce ne sont pas les seuls ! 
Si vos objectifs sont plutôt tournés vers les gains, le pétrole ou le gaz naturel peuvent présenter de belles opportunités. 
Les biens de consommation de base sont également très intéressants. On pourrait citer le : 

  • blé ; 
  • soja ;
  • maïs ;
  • coton.

Enfin, gardez en tête que les matières premières sont avant tout des placements spéculatifs, restez donc vigilant.

L’art

Passionné de peinture, de sculpture ou de photographie, et si vous apportiez une petite touche d’art dans votre portefeuille ? Vous risqueriez de ne pas le regretter ! À condition bien sûr de bien s’entourer. Moins sensible aux crises économiques, le marché de l’art reste toutefois volatil et demande une certaine sensibilité. Rester en avant de la vague n’est pas toujours simple surtout lorsqu’on est novice. Mais si vous avez le nez fin, vous pourriez percevoir de beaux rendements et bénéficier d’une fiscalité allégée à la revente. 

Toutefois, investir dans l’art a un coût. Le ticket d’entrée est assez élevé et vous ne payerez pas uniquement le prix d’achat des œuvres. En effet, plusieurs autres frais sont à prévoir comme : 

  • les frais d’assurance ;
  • les frais de conservation ; 
  • les frais d’entretien ; 
  • les éventuelles commissions des intermédiaires. 

Autant de dépenses annexes qui complexifient le calcul de la rentabilité. Toutefois, l’art reste un bon moyen de diversifier vos placements. 

Groupement forestier/viticole

En France, s’il y a bien deux choses dont on ne manque pas, ce sont les forêts et les vignobles. Ce serait bête de ne pas en profiter ! 
Les Groupements forestiers d’investissement (GFI) sont un bon moyen de défiscaliser. Ils vous permettent d’investir dans des parcelles de bois de manière collective. Exonérés d’IFI et de droits de succession à hauteur de 75%, les GFI offrent un rendement faible, mais constant avec un ticket d’entrée qui n’excède pas quelques milliers d’euros. 

À l’inverse, les Groupements fonciers viticoles (GFV) s’adressent principalement à des passionnés. Accessibles, ils offrent un retour financier ou en nature sous la forme de bouteilles. Quoi de mieux que de déguster un bon vin issu de sa propre propriété ?  

Les cryptomonnaies

Should i stay or should i go ? Les cryptomonnaies nous en font voir de toutes les couleurs, investissement à la mode par excellence, on entend parler que d’elles. Un bitcoin valait 400 dollars en 2015, il en valait 47 700 le 1er janvier 2022. Tout est une question d’offre et de demande. Quand acheter et vendre au bon moment en somme. Et comme il en existe des centaines, il faut appeler les chiens truffiers pour ne pas tomber sur un champignon de Paris. 

Voilà pourquoi on place les cryptomonnaies dans la catégorie des placements exotiques (voir montagne de l’épargne). C’est un excellent moyen de diversifier votre épargne, mais n’allez surtout pas mettre tous vos actifs dans ce placement ! 
Cet investissement reste risqué et il est important de garder la tête froide. 
Nous ne le répéterons jamais assez : la diversification est la clé ! 

Tout savoir sur les Cryptomonnaies

Investir pour réduire ses impôts 

Pour certaines personnes, l’investissement est avant tout là pour permettre de réduire ses impôts. Plusieurs placements servent parfaitement cet objectif. C’est notamment le cas du Girardin. Son but premier est de soutenir l’économie des DOM-COM et en contrepartie vous percevez une réduction d’impôts. Ce placement est particulièrement intéressant pour les contribuables fortement imposés. De plus, contrairement à d’autres outils de défiscalisation, le Girardin est un dispositif one-shot. En clair, vous profiterez de la réduction d’impôts dès l’année suivante et elle peut atteindre 100 % du montant investi. 
Sans oublier qu’il s’agit d’un investissement éthique, car vous participez au développement et à la croissance des entreprises et du tissu économique des DOM COM.

Les meilleures stratégies pour réduire ses impôts

Le PER 

Le Plan Épargne retraite est aussi un bon moyen de réduire vos impôts tout en vous constituant une épargne pour votre retraite. Les versements que vous allez faire sur votre PER sont déductibles de vos revenus imposables. Résultat : plus vous payez d’impôts, plus vous pouvez faire de versements et plus la déduction fiscale est intéressante pour vous. 
À la fois sécurisé et souple, le PER est un excellent moyen de mettre de côté pour votre retraite tout en allégeant vos impôts durant votre vie active. 

Tout savoir sur le Plan Epargne Retraite

Se faire accompagner par Climb

Vous l’aurez compris, tout au long de cet article, investir ne s’improvise pas. Du moment où vous définissez votre profil et vos objectifs à celui où vous percevez des gains, il y a un long chemin à faire, parfois semé d’embûches. Voilà pourquoi, un accompagnement personnalisé n’est jamais de refus. Après tout, c’est aussi l’occasion de faire le bilan de santé de vos finances personnelles !

Que vous souhaitiez percevoir des revenus supplémentaires ou préparer votre retraite, un conseiller en gestion de patrimoine vous aidera à faire les bons choix en prenant en compte votre profil, votre situation financière, mais aussi vos buts. Comme nous le disons souvent chez Climb il n’y a pas d’investissement miracle, mais de bons investissements pour chacun. 

Nos experts sauront vous guider et vous conseiller afin de trouver la perle rare qui vous permettra d’atteindre vos objectifs. 
Nos conseillers vous accompagnent de A à Z dans la création de votre patrimoine afin de vous permettre de faire fructifier votre épargne grâce à des placements diversifiés. Leur objectif : vous aider à trouver les meilleurs placements adaptés à vos objectifs

Qui a dit que vous ne trouverez pas investissement à votre pied ?

Les stratégies d’investissement connues 

Après avoir fait le tour de l’investissement, un petit peu de vocabulaire ne nous fera pas de mal. Voici quelques termes à connaître pour bien appréhender la dynamique de l’investissement :

Actions : c’est un morceau d’une entreprise. En posséder c’est avoir des droits. Plus vous disposez d’actions d’une entreprise, plus vous toucherez des dividendes (une partie des bénéfices de l’entreprise) et plus vous aurez la possibilité de voter pour un changement de direction, par exemple. En revanche, si la société est en perte de vitesse, votre action perd de la valeur et, en cas de faillite, vous perdez le capital investi dans l’entreprise.

Obligations : c’est un morceau de dette émis par une entreprise, une collectivité territoriale ou un État. En achetant une partie de cette dette (obligation), vous pouvez devenir l’un de ces créanciers. Ainsi, c’est la société ou l’État qui vous remboursent votre prêt avec un taux de rendement fixe. Résultat : les obligations sont généralement considérées comme plus sûres que les actions, même si elles ne sont pas garanties à 100 % non plus. 

ETF : aussi nommés fonds indiciels cotés en Bourse, les ETF (Exchange Traded Funds) sont des trackers qui vont se calquer sur un indice boursier (géographique ou sectoriel) et donc suivre les mêmes évolutions. Ils sont gérés par des sociétés de gestion. Leur avantage par rapport à un indice boursier ? Ils sont plus accessibles et plus rapides à revendre. Ils sont donc intéressants pour investir en Bourse. 

Fonds d’investissement : aussi nommés fonds communs de placement, ils sont gérés par des organismes financiers agréés par l’AMF (Autorité des Marchés Financiers). Ces opérateurs spécialisés gèrent votre mise de départ dans le but d'optimiser ses bénéfices. Les SICAV, OPCVM, FCPI ou encore SCPI sont différents types de fonds d'investissements notamment intéressants pour les gros montants à investir.

Holding : c’est une société qui contrôle et dirige plusieurs sociétés. Elle peut prendre la forme d’une SAS, d’une SA, d’une SARL ou encore d’une société civile. Son rôle est principalement financier et la création d’une telle société peut intervenir lors l’acquisition d’une société par endettement ou lors du rachat d’entreprise. Enfin, la holding peut être passive (gestion d’un portefeuille de titres des participations) ou active (elle participe en plus à la politique du groupe).

Trading : issu de l’anglais “ to trade” qui signifie “négocier” ou “faire du commerce”, le trading consiste à acheter et vendre des titres financiers dans l’objectif d’en tirer des gains. Cela demande une bonne connaissance des marchés, beaucoup de temps et un gros risque, mais c’est probablement l’une des techniques les plus lucratives.

Allocation d'actifs : cela vous permet de définir la composition de votre portefeuille de titres en fonction de vos choix d'investissement. Pour y parvenir, il faut prendre en compte le rendement attendu et les risques.

Buy low sell high : il s’agit tout simplement d’acheter des actions à bas prix et de les revendre plus chères. Cela peut paraître simple, mais il est souvent difficile de prédire les fluctuations du marché. 

Buy and hold : comme son nom l’indique, il s’agit d’une stratégie d’investissement qui consiste à acheter des actions et à les garder durant une longue période. Les investisseurs qui ont recours à cette stratégie estiment qu’il est plus rentable de se contenter de percevoir les dividendes plutôt que de chercher la plus-value. 

Réinvestissement des dividendes : pour faire opérer la magie des intérêts capitalisés, vous pouvez vous tourner vers un programme de réinvestissement automatique des dividendes perçus. Au lieu de les percevoir directement, ils seront ainsi réinvestis dans de nouvelles actions. Les bénéfices engrangent ainsi d’autres bénéfices, faisant gonfler votre capital total.

Les idées reçues quand on investit son argent

L’investissement est réservé aux riches

Rien n’est plus faux ! L’investissement s’adresse à toute personne désireuse d’optimiser ses finances personnelles et d’obtenir des rendements. Certes, il est plus facile de se lancer dans des spéculations financières ou des placements à risques lorsqu’on dispose déjà d’une certaine trésorerie. Pour autant, les placements les plus rentables ne sont pas réservés aux plus aisés : comme on l’a vu, vous pouvez commencer à investir avec quelques centaines d’euros.

Il faut être propriétaire pour investir dans l’immobilier

Ne pas être propriétaire de sa résidence principale ne constitue pas forcément un frein à l’accession au prêt immobilier. De plus en plus de jeunes investisseurs commencent à se constituer un patrimoine en réalisant un investissement immobilier locatif plutôt que par la résidence principale. 

Pensez également aux SCPI, dont les parts peuvent être souscrites à crédit ou en direct, avec des tickets d'entrée à 1 000 euros !

Les actions, c’est trop risqué

Le placement en actions souffre d’une mauvaise image. Et pourtant, c’est une solution très rentable… à condition de se projeter sur du long terme. À moyen/court terme, vous courrez effectivement le risque de subir des pertes. Mais à long terme, c’est le contraire :  les placements en actions sur les principaux marchés boursiers s’avèrent généralement plus rentables que des placements présentant peu de risques. 

Fiscalement, l’investissement est un enfer

Si la France est connue pour exercer une pression fiscale sur ses entreprises, c'est beaucoup moins le cas avec les investissements individuels. Par ailleurs, il existe aujourd'hui de nombreux acteurs spécialisés dans la gestion de patrimoine. Chez Climb, nos experts en finances personnelles peuvent vous renseigner sur les mécanismes des divers placements, leurs avantages fiscaux et leurs pièges.

Avec mon Livret A, mon argent est en sécurité

Oui et non. Le Livret A constitue une sécurité dans le sens où il est complètement indépendant des marchés financiers. Face à la montée de l'inflation ces derniers mois, il a été décidé de remonter le taux de rémunération du livret A à 3 % au début de 2023 : un taux intéressant, mais à court terme, puisqu'il dépend du niveau d'inflation et est donc réajusté régulièrement à la hausse... comme à la baisse. 

Le Livret A n'est pas un support d'investissement : vous pouvez stocker votre épargne pour y avoir accès rapidement, mais pour valoriser votre argent sur la durée, mieux vaut se tourner vers d'autres produits financiers plus performants !

L’assurance vie est un placement bloqué et contraignant

Lorsqu’on entend « assurance vie », on pense de suite aux 8 ans de blocage, aux retraits imposables, aux fonds à formules à consonance complexe, aux rendements inespérés, etc. Pourtant, le « couteau suisse de l’épargne » comme on le surnomme, est simple, accessible et souple. Les nouveaux contrats sont accessibles dès 100 euros, voire 50 euros, avec des versements ponctuels ou programmés. Les versements peuvent être interrompus ou réduits, en fonction des besoins. Et vous pouvez effectuer des rachats partiels ou totaux de votre capital, même avant 8 ans !

Investir dans l’immobilier, c’est trop risqué

Si le risque zéro n’existe pas, vous pouvez très facilement réduire ce risque de plusieurs façons :

  • les petits logements (studios, T1) neufs ou rénovés sont très recherchés : misez sur des biens de petite surface en vous focalisant sur des zones géographiques où la demande est importante ;
  • mutualisez les risques en achetant des parts de SCPI de rendement ;
  • investissez de petites sommes grâce au crowdfunding immobilier ;
  • avec le statut Loueur en Meublé Non Professionnel.

 
Sources

Qu'est-ce qu'un obligation ? - economie.gouv.fr
Comment acheter des actions ? - economie.gouv.fr
Risques et rendement des SCPI - economie.gouv.fr
Investissements immobiliers - economie.gouv.fr
Investir votre épargne : étape par étape - amf-france.org  
Plan d'épargne en actions (PEA) - service-public.fr  
Livrets, plans et comptes d'épargne - service-public.fr
Contrat d'assurance-vie : fonctionnement - service-public.fr
Crypto-monnaies, crypto-actifs - economie.gouv.fr  
Réduction d'impôts et oeuvres d'art - service-public.fr  
Rachat de métaux précieux - economie.gouv.fr  
Investissement outre-mer - impots.gouv.fr  
Le Plan d’épargne retraite (PER) - economie.gouv.fr  

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Foire aux questions

🤷 Où investir son premier salaire ?

Dans la plupart des cas, lorsque vous touchez vos premiers revenus, vous n’avez pas encore un matelas de sécurité bien fourni. La priorité est donc d’alimenter votre épargne afin de gérer plus sereinement vos finances et de bâtir votre stratégie d’investissement sur des bases solides et saines.

🤝 Quel budget pour commencer en Bourse ? 

Au-delà d’un ticket d’entrée accessible (10 euros pour un PEA), il est recommandé d’investir en Bourse avec un petit apport si l’on souhaite bien résister aux inévitables fluctuations : le minimum recommandé est de 2 000 euros, et dans l’idéal entre 7 000 et 10 000 euros d'investissement. 

🤝 Où investir quand on est jeune ?

Vous êtes jeune investisseur et vous avez constitué votre fonds de sécurité et vous cherchez un support d’investissement à horizon 5 ans et plus ? C’est l’occasion d’ouvrir un PEA : vous pouvez le paramétrer selon votre rapport au risque, choisir les actions européennes dans lesquelles vous voulez investir, et effectuer des versements libres.

🤝 Comment bien investir 1 000 euros ? 

Si vous souhaitez investir 1 000 euros, vous avez le choix entre plusieurs placements. Côté immobilier, vous pouvez vous tourner vers les SCPI ou encore le crowdfunding. Pour plus de folie, vous pouvez en profiter pour diversifier votre épargne en investissant dans l’or, les forêts ou encore les produits structurés.